VENDREDI 19 JANVIER 2007 à 20h30
Salle de réunion de PAHIN
(2 bis boulevard Goya, Tournefeuille)
OUVERTE A TOUS
Salle de réunion de PAHIN
(2 bis boulevard Goya, Tournefeuille)
OUVERTE A TOUS
Tout d'abord, nos meilleurs vœux à tous et toutes en cette année qui s'ouvre. Elle s'annonce importante pour notre action. Pour cela, il nous faut rassembler le maximum de monde pour cette 1° assemblée de l'année. Organisez-vous avec du co-voiturage, amenez voisin(e)s, ami(e)s...
L'ordre du jour est fourni : explications sur l'état du dossier, informations sur le travail de communication du collectif, préparation d'une grande manif sous forme de sit-in, « 12 heures sur le plateau », le samedi 31 mars.
Nous sommes en route vers les 20 000 signatures à notre pétition, notre action a commencé à porter ses fruits, c‚est le moment de passer la vitesse supérieure. Très cordialement.
L'ordre du jour est fourni : explications sur l'état du dossier, informations sur le travail de communication du collectif, préparation d'une grande manif sous forme de sit-in, « 12 heures sur le plateau », le samedi 31 mars.
Nous sommes en route vers les 20 000 signatures à notre pétition, notre action a commencé à porter ses fruits, c‚est le moment de passer la vitesse supérieure. Très cordialement.
Progreso MARIN, président, pour le Comité d'Animation.
PS : Un dossier complet sur l'affaire des Portes de Gascogne sera à votre disposition.
personnes qui ont visité ce site et nous attendons vos remarques, commentaires, suggestions...
2 commentaires:
Quel est l'objet - en deux mots - de cette lutte ?
Cordialement,
Michel Geoffre
Bonjour Monsieur,
En deux mots je ne pense pouvoir y arriver, en quatre non plus d’ailleurs, mais je vais essayer d’être bref.
Il s’agit ici d’un combat contre l’implantation d’un centre commercial gigantesque à la limite de la Haute-Garonne, tout près du département du Gers. Les Verts du Gers soutiennent, bien entendu, le combat du collectif qui s’est créé pour lutter contre cette aberration économique et écologique que les grands financiers et les distributeurs qui se partagent le marché veulent nous imposer.
Si ce complexe de plusieurs dizaines d’hectares et qui a pour ambition de draîner une clientèle de toute la région, ce sont de nouvelles infrastructures routières qui vont voir le jour (qui va payer ?), des dizaines de milliers de véhicules qui feront des millions de kilomètres avec toutes les pollutions qui vont de pair, tout un plateau aujourd’hui encore préservé de la folie immobilière qui se verra livré aux promoteurs et bétonneurs en tous genres.
On nous oppose “le développement économique”. Quel "développement économique" apporte ce projet qui détruira tout un tissu de commerce et d’activités de proximité et qui fera circuler des milliers pigeons-automobilistes venus "se faire plumer" en pensant satisfaire des besoins artificiellement créés ? A qui profite le crime ?
Il est prouvé statistiquement que pour un emploi créé dans la grande distribution ce sont quatorze emplois qui disparaissent dans le commerce de proximité. Bien entendu les élus locaux qui accorderont du crédit à ces promoteurs se verront récompensés par une manne importante pour leurs finances, peut-être même auront-ils un jour une place à leur nom, avec pourquoi pas une statue pour services rendus à la commune !
En tous cas tout l’Est du Gers et jusqu’à Auch au moins sera sinistré. Et il n’est pas rassurant de voir (Dépêche de cette semaine) le président du Conseil Général Philippe Martin ou Doligé, président de la CCI, demander que l’éventuel contournement de Toulouse passe par là, nous expliquant que le développement du Gers était conditionné par le développement de l’aéronautique... Pas rassurant, mais alors vraiment pas rassurant !
Voici en quelques mots quelques-unes des raisons qui font que nous sommes aux côtés du collectif.
En espérant avoir répondu partiellement à votre interrogation, je vous conseille d’aller sur le lien suivant où vous trouverez beaucoup plus d’informations :
http://collpg.blogue.ca/
Merci pour votre question et à bientôt peut-être.
Cordialement.
Michel Bordes
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