En 2000 la situation du SIVU était encore fragile au niveau financier, après les 3 premières années de fonctionnement avec des gros déficits d’exploitation.
Le mandat –actuel sous la présidence de J P Espiau ( PS ) a été marqué par :
On n’a guère pu avancer sur la GRATUITE INTEGRALE (mais on pourrait y arriver par KO technique dans le cadre d’un projet régional de système de billetique unique sur tous les transports publics de la région !).
Et ce, malgré une apparente possibilité financière : les trajets payants représentent moins de 8 % du budget ( environ 100 000 euros par an ) l’essentiel étant la taxe transport payée par les entreprises de plus de 9 salariés et les dotations d’état .
Les oppositions sont de trois ordres :
Dossiers futurs :
Le mandat –actuel sous la présidence de J P Espiau ( PS ) a été marqué par :
- Le rétablissement des finances (presque trop, à mon point de vue, puisque depuis 4 ans, le SIVU dégage des excédents non négligeables - jusqu’à 75 000 euros ! - ce qui n’est pas son objectif)
- Le renouvellement de la concession de service public à Kéolis (société mixte à participation SNCF)
- Le changement presque intégral du parc de véhicules
- La mise en place de la navette (dont le véhicule va être changé très bientôt)
- La modification de certaines lignes et la mise en place d’un relai par taxis sur certaines dessertes ou certains horaires (non sans certains déboires et difficultés réglées très récemment par une convention stricte)
- La modification du système de billeterie
- L’extension de la gratuité (environ 55 % des voyages sont faits à titre gratuit)
- La gratuité du réseau le samedi
- La coordination avec la SNCF (pour arrivées et départs des T ER)
- Une augmentation lente mais régulière de la fréquentation.
- Des efforts de publicité et de sensibilisation des jeunes (exemple concours scolaires)
On n’a guère pu avancer sur la GRATUITE INTEGRALE (mais on pourrait y arriver par KO technique dans le cadre d’un projet régional de système de billetique unique sur tous les transports publics de la région !).
Et ce, malgré une apparente possibilité financière : les trajets payants représentent moins de 8 % du budget ( environ 100 000 euros par an ) l’essentiel étant la taxe transport payée par les entreprises de plus de 9 salariés et les dotations d’état .
Les oppositions sont de trois ordres :
- Crainte d’une augmentation de l’usage (environ 3 à 40 % de voyages en plus, d’après les expériences extérieures comme Chateauroux) qui entrainerait la nécessité d’augmentation du parc (la configuration e la ville interdisant le recours à des véhicules de plus grande capacité) et du nombre de salariés.
- Le budget actuel permettant juste une gratuité à taux de fréquentation stabilisé .
- Crainte de dégradation des véhicules et de développement des incivilités (les chauffeurs sont très hostiles à la gratuité !)
Dossiers futurs :
- L’application de la loi sur l’accessibilité des personnes à mobilité réduite (date butoir 2011).
- Le service spécifique des personnes handicapées dès 2008 (car le GIPH cesse ses activités à la fin de cette année) qui nécessitera véhicule et personnel adéquats supplémentaire et conventionnement avec le Conseil Général (coût estimé : 50 à 60 000 euros par an plus investissement).
- L’application (ou le boycott ???) de la Loi sur la continuité du service en cas de mouvements sociaux ou d événements exceptionnels.
- La coordination avec CG et CR sur le système de billetterie uniformisée sur la Région.
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