Certes, les Verts sont favorables aux énergies renouvelables, mais à condition, cela tombe sous le sens, qu'elles n'entrent pas en concurrence sauvage avec la vocation première des terres arables qui est d'abord de nourrir les hommes.
Les projets d’implantation de parcs photovoltaïques poussent comme des champignons dans nos campagnes : 60 hectares à Durban, 23 à Valence, 18 à Miradoux, 25 à St Clar, 20 hectares à Ordan Larroque, et encore 20 à Montréal et aussi à Montégut …sans compter tous ceux qui doivent se mijoter ici ou là…
Tous ces projets sont-ils souhaitables et toujours pertinents ?
Ecologiquement parlant, ils ne sont souhaitables que sur des terres inaptes aux pratiques agricoles où ils ne nuisent pas à la biodiversité (par exemple, anciennes carrières, anciennes décharges...).
Il nous semble plus judicieux que les pouvoirs publics donnent le bon exemple en portant leur effort sur les toitures des bâtiments publics, des entreprises et des maisons particulières...
L'objectif théorique, porté par le Grenelle à 23% de la part des énergies renouvelables dans la consommation finale d'énergie à l'horizon 2020 ne doit pas être pris comme une fin en soi impérative. Il faut prendre en compte le risque d'un déséquilibre dans les productions agricoles et forestières.
Une politique cohérente devra avoir pour objectif prioritaire, la sobriété et l'efficacité énergétique du bâti. Elle devra être en cohérence avec l'urbanisme existant ou à venir.
C'est pourquoi les Verts insistent sur le fait que toute implantation photovoltaïque devra associer préalablement les administrés, cela d'autant plus que Grenelle1 prévoyait un renforcement des consultations de la population dans le cadre d’expertises publiques.
Qu'en est-il aujourd’hui des projets précités, soumis depuis le 1er décembre 2009, à étude d’impact et enquête publique ?
Les projets d’implantation de parcs photovoltaïques poussent comme des champignons dans nos campagnes : 60 hectares à Durban, 23 à Valence, 18 à Miradoux, 25 à St Clar, 20 hectares à Ordan Larroque, et encore 20 à Montréal et aussi à Montégut …sans compter tous ceux qui doivent se mijoter ici ou là…
Tous ces projets sont-ils souhaitables et toujours pertinents ?
Ecologiquement parlant, ils ne sont souhaitables que sur des terres inaptes aux pratiques agricoles où ils ne nuisent pas à la biodiversité (par exemple, anciennes carrières, anciennes décharges...).
Il nous semble plus judicieux que les pouvoirs publics donnent le bon exemple en portant leur effort sur les toitures des bâtiments publics, des entreprises et des maisons particulières...
L'objectif théorique, porté par le Grenelle à 23% de la part des énergies renouvelables dans la consommation finale d'énergie à l'horizon 2020 ne doit pas être pris comme une fin en soi impérative. Il faut prendre en compte le risque d'un déséquilibre dans les productions agricoles et forestières.
Une politique cohérente devra avoir pour objectif prioritaire, la sobriété et l'efficacité énergétique du bâti. Elle devra être en cohérence avec l'urbanisme existant ou à venir.
C'est pourquoi les Verts insistent sur le fait que toute implantation photovoltaïque devra associer préalablement les administrés, cela d'autant plus que Grenelle1 prévoyait un renforcement des consultations de la population dans le cadre d’expertises publiques.
Qu'en est-il aujourd’hui des projets précités, soumis depuis le 1er décembre 2009, à étude d’impact et enquête publique ?
Fatma ADDA
Secrétaire des Verts du Gers
Secrétaire des Verts du Gers
2 commentaires:
C'est avec plaisir que je regarde votre site ; il est formidable .j'ai bientôt quatre vingt printemps et je passe du temps vraiment très agréable à lire vos jolis partages .Continuez ainsi et encore merci.
Tres bon article, ca fait plaisir de lire ce genre de site! bonne continuation.
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